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J'ai tant attendu, enfin, enfin...

Oh, danser le swing encore et encore dans tes bras... Un bonheur qui irradie tout l'intérieur de moi-même, et une sensation immense de... d'être enfin avec moi-même, tout est réuni à l'intérieur, apaisement, trait tiré sur tout ce qui a pu me faire, mal, je n'y pense même plus, je...

Hier, soirée chez Pierre : son anniversaire, à mon Pierrot, ses vingt ans. Une quarantaine de personnes, visages connus, visages inconnus, tout le monde mêlé, le sourire aux lèvres, réunis pour les 20 ans de mon grand ami.

J'arrive un peu en avance, avec Natacha, nos bouteilles planquées dans nos sacs pour ne pas qu'on nous prenne pour des jeunes filles folles qui allons nous boire un coup sous les ponts de la Seine... Puis les autres arrivent au compte goutte, tous s'exclamant : "Wouah, génial ton appart!"

Parmi les visages connus, comme d'habitude, notre petite bande, petit groupe, Natacha, Sandra, Ben et Greg, Elodie, Eloi, et Hugo... Hugo est là. Je sais qu’il doit partir tôt, il a une autre fête chez un ami, Pierre m’a prévenue avec un petit sourire en coin : « Son temps est compté ce soir...  Alors profite.»
La copine de Pierre est là, fraîche et vivante, elle s’appelle Sandrine. Elle est vive, elle est en kâgne littéraire, elle adore le guacamole et la danse orientale, elle a de l'humour et de la répartie ; je crois qu'elle mérite bien Pierre, ce que je lui glisse à l'oreille en riant. Elle rit à son tour, et me répond : "Je suis vraiment ravie de vous rencontrer, tous. Pierre m'a vraiment beaucoup parlé de toi, de vous!" Je suis vraiment contente de la découvrir enfin, Pierre a l’air si heureux lorsqu’il est près d’elle, il la tient par la taille et ils se sourient, le même sourire de chaque côté : pas de déséquilibre d’affection, ils s’aiment, ils sont beaux à voir.

C'est la fête, vraiment la fête, il y a du monde partout ; l'appartement des parents de Pierre (sans ses parents, naturellement, pour l'occasion) est spacieux, un drôle d'appart, au dernier étage d'un immeuble haussmannien. Un mélange de vieux meubles thaïlandais, de sièges design, des filets de pêche dans la cuisine, une grande affiche de Bob Marley sur un mur du couloir, deux ou trois narghilés... Une ombrelle chinoise, une commode Louis XV, une table Art Nouveau, des chaises en bois toutes simples, à la paysanne, deux tam-tam, un buste de mannequin en plastique, un tapis iranien, une lampe Ikéa... C'est un mélange du métier d'acheteuse d'art de la mère, de la passion du père et du fils pour les voyages, et les musiques du monde. Tout ça dans cet appart, un peu n'importe comment, mais qui lui confère tout de suite une atmosphère chaleureuse, vivante, oui, vivante.

Alors, danser, s'éclater vraiment, rire et rire encore.
Au détour d'un couloir, Natacha et moi prenons en embuscade Pierre, Natacha lui cache les yeux. Lui qui sourit comme un gosse, tend les mains en avant : "Qui c'est?", tente de deviner en lui touchant les doigts : "C'est qui?? Mais c'est qui??" Lui libérer les yeux, en riant, et puis moi qui dis, faussement timide : "On a un cadeau pour toi, devine..." Et lui qui voit le gros paquet, et murmure, en souriant de toutes ses dents : "Non, vous avez pas fait ça quand même...". Il lâche les bouteilles de Coca qu'il avait sous le bras, et s'assied par terre. Je le sens tout excité comme un petit enfant, ses yeux vont de nous deux au paquet, il hésite, il hésite... Alors, nous : "Mais vas-y!". Alors, il prend son élan, et déchire le papier kraft, tire sur les ficelles...
"Non c'est pas vrai! Mais... Vous êtes folles, vous... vous êtes géniales, les filles!"
C'est un jumbé. Enfin non, c'est LE jumbé. Parce qu'il en a déjà deux... Dans la vitrine d'un magasin d'art tribal, un vieux jumbé, décoré main par une tribu -je ne sais plus laquelle, le vendeur me l'avait dit, mais j'ai eu le temps d'oublier- d'Afrique centrale, bref, un truc rare, et... assez cher, il faut le dire... sur lequel fantasmait Pierre depuis des semaines, « une petite merveille » selon lui, mais qu’il ne pouvait pas s’offrir, faute de budget, en ce moment... Il avait si peur qu’il parte avant qu’il ne puisse l’avoir !
« Non, mais... Je... C’est dingue, dingue ! Venez là, mes coupines ! »
Pierre tout heureux, tout fou, qui nous serre contre lui... Le sourire qui passe de l’un à l’une, de l’une à l’une, tous les trois en train d’exploser de rire, en voyant Ben qui arrive, et nous dit : « Ben alors... Je savais pas qu’il y avait une câlin-partie maintenant ? Je peux venir ? » Et il s’étale en riant sur nous, en battant des bras dans tous les sens. Sandra passe par là, elle vient s’asseoir, et nous voilà tous bras et jambes emmêlés, c’est du n’importe quoi, et on rit comme des baleines...

Je retourne dans le salon, cocon de bien-être, brouhaha des paroles échangées, de la musique en fond, les bruits d’assiettes et de couverts, un bouchon qui saute, par ici on passe des coussins pour mieux s’asseoir, là on s’appuie contre un pan de porte, on passe avec des plats dans les mains.

Je discute avec un étudiant en Biologie, ami de Pierre, du plaisir que l’on peut prendre à rester assis sans rien faire –comme nous le sommes actuellement, au fond d’un pouf, un verre à la main-, surtout après des partiels ; je philosophe avec Sandra de l’importance de la pause-café de onze heures ; je délire encore un coup avec Greg sur les crevettes, en me régalant au passage de d’un plat au nom que je n’ai toujours pas compris réalisé par notre Eloi, qui non seulement apprend l’araméen, mais s’avère divin cuisinier de plats araméen ! « Eh oui, quand on tente d’apprendre une langue, il faut aussi s’atteler à la culture ». « Message reçu, j’en veux bien encore une assiette, de cette culture ! », je lui réponds. Et il éclate de rire.

La soirée avance, et je me retrouve dans un arrière-salon, comme dans une sorte de petite alcôve derrière une porte vitrée qui me sépare du salon, avec un canapé, une table, quelques chaises dedant. Affalée dans le sofa, je regarde de l’autre côté de la vitre tous ces gens discuter, rire. Je suis bien.
Et puis, une silhouette s’avance vers moi, un verre à la main. Sourire. Hugo. « Alors, on rêve ? »
Il s’assied à côté de moi. Me propose du Gin Tonic. J’accepte, je lui prends son verre des mains, ma paume frôle ses doigts. Regards. Mes yeux dans les siens, je bois une gorgée.

Nous nous mettons à discuter, de tout, de rien. Des gens. Des lieux. De la fac. Des relations avec les gens. Du sens de ses relations. De la vie. Des sentiments. Petit à petit, la conversation prend un tour plus intime, plus personnel. Physiquement, aussi. Mes yeux rencontrent les siens, les soutiennent de plus en plus, je suis de plus en plus détendue, tout en sentant une tension qui monte en moi, quelque chose comme la corde d’un arc, sur laquelle on tire peu à peu. D’assise parallèlement à côté de lui, je me retrouve les genoux ramenés sous moi, tournée entièrement vers lui, lui touchant parfois spontanément l’épaule en lui parlant (je ponctue très souvent mes gestes de paroles).

Justement, il le relève.

« Tu aimes bien toucher les gens lorsque tu parles ! 
- Oh  non, pas vraiment, enfin, oui...
- Ca te permet de te rapprocher d’eux, en quelque sorte.
- Peut-être, oui. Comme si mes paroles les atteignaient plus, comme ça.
- Oui. Parfois, les gestes en disent bien plus que des mots. »

Un drôle de bruit retient mon attention, comme un grelottement de quelque chose. Je regarde son verre : ses glaçons tremblent contre les parois. Mes yeux remontent vers lui, je souris un peu, lui aussi, ses yeux me fuient, puis reviennent vers moi. Il tremble. Sans faire exprès.
Oui, un geste peut être bien plus explicite que des paroles.
Cette dernière pensée semble avoir couru de mon esprit au sien.

Silence entre nous deux.
Il me regarde.
Je le regarde.

Je vois son avant-bras gauche, qui tient le verre, agité de très légers soubresauts. Vivement, Hugo pose le verre.
Ses yeux reviennent vers moi. Cette façon qu’il a de me regarder... Il y a comme mille interrogations en eux, qui se résument en fait à une seule question.
Sa pomme d’Adam, son cou, ses yeux, ses lèvres, ses mains, c’est terrible comme tout m’attire en lui en cet instant. Je le sens si fragile, si vulnérable, et si fort, rempli d’une intensité incroyable, comme une force en lui que je ne soupçonne pas. J’ai la sensation qu’il pourrait abattre des montagnes, à ce moment précis. Comme si quelque chose grondait en lui, une puissance impatiente, et une hésitation presque féminine. Ce croisement d’énergies, fébrilité et tension, comme quelque chose qui avancerait par à-coups, oui, Breton parlait de « beauté convulsive ». Hugo est une beauté convulsive, maintenant, il sauvage et extatique, pulsionnel, et pourtant, retenu, il tire sur les mords qui le tiennent, qu’est-ce qu’il est beau.
Ses cheveux noirs, comme un corbeau ébouriffé, dur, la forme de ses sourcils, qui me semblent arqués et droits à la fois, et les yeux sombres qui s’enfoncent dessous, sa bouche fine, impatiente, son cou, les infimes spasmes qui parcourent son bras, ses mains si belles, les veines sur le dos de sa main. Il y a une finesse et une dureté qui émane de lui soudain, tout m’attire, tout m’aimante, j’ai comme envie de me coller contre lui, de le prendre avec moi, de le serrer si fort, en agrippant ses cheveux, dans un halètement, j’ai envie de pousser un cri rauque qui vienne du fond de ma poitrine, comme pour soudain réaliser qu’il est à moi, lui que je désire tant, si intensément, plus que quiconque, lui, Hugo.

Et il me regarde, il me dévore des yeux dans une question muette, j’ai comme l’impression que ses lèvres contiennent à grand-peine tous les mots qui n’aspirent qu’à sortir, mais les mots ne servent à rien, tu l’as dit, alors, le geste, le geste.
Et j’attends et j’attends, mes yeux fixés dans les siens, comme si un fil dur, indestructible reliait nos yeux ; si fort que j’ai presque mal tellement tout mon corps tend vers lui, tout mon cœur, mon esprit crie en moi son prénom, j’ai envie de hurler son prénom, juste le sien, encore et encore.

Le temps passe et nous restons immobiles, toujours ce fil entre nous deux, cinq secondes qui me semblent des siècles. C’est un train qui nous entraîne à toute vitesse vers l’Ailleurs de tous les possibles, comme si je m’accrochais aux plumes, aux crins d’un animal volant tellement vite que j’ai l’impression que ma peau brûle. Oui, je brûle complètement, les quarante centimètres entre nous deux me semblent fournaise, quelque chose est incendié en moi et m’embrase, il faut le geste, le geste, avant que cela ne carbonise. Mon prénom à toute vitesse dans ma tête, je l’épelle, H.U.G.O., Hugo, c’est lui, lui, et personne d’autre.

Et puis soudain, le geste libérateur intervient, il se lève un peu, et je sens sa main contre ma joue, il prend mon visage entre ses mains, ses pouces sur mes pommettes, ses doigts sur ma peau, et mes lèvres rencontrent les siennes, enfin, enfin... C’est comme une porte qui s’ouvre en moi, une sensation indescriptible, un court-circuit intérieur, toute l’électricité accumulée en moi explose. J’ai l’impression que mon cœur se soulève, une pression interne, je ne pourrais jamais la contenir, trop d’intensité, trop tout. Ce moment que j’attendais depuis si longtemps, si longtemps, il est là, là...

Ballet des lèvres et des mains, nous nous levons sur nos genoux, pour mieux se serrer l’un contre l’autre, je ferme les yeux et tout tourne autour de moi. Ses mains sur mon visage, ce sont bien les siennes, les siennes ! ... Je ne réalise pas cet instant, c’est lui, c’est bien lui, dont j’ai tant de fois rêvé dans mon sommeil, lui dont j’ai prononcé le nom tout bas, lui avec lequel j’ai partagé tant de choses, lui qui m’a fait oublier David, lui qui m’a réparée de l’amour, dont le simple regard m’a fait naître quelque chose de fou, de si intense, c’est lui contre moi. Ses mains qui courent sur moi, qui me caressent, et puis, ce geste qui me fait sourire de bonheur, qui me donne plus jamais conscience de nos retrouvailles : il abandonne un instant mes lèvres, et me serre contre lui, fort, fort.

Et je souris, plus que jamais.

(...)

Nous restons une demi-heure, comme ça, enlacés, sans rien dire. Nous réalisons juste la présence de l’un contre l’autre. De temps en temps, ses mains qui viennent me serrer plus fort contre lui.
Il murmure : « J’aimerais tant pouvoir de serrer si fort, encore plus, presque au point de fusionner avec toi, j’ai l’impression que je ne pourrai jamais assez te savoir contre moi, ma Viva, ma Viva... » J’ai l’impression que le bonheur irradie de moi de toutes parts, Hugo est avec moi, rien ne peut m’arriver, je ne peux m’arrêter de sourire.


Et puis Hugo s’en va à son autre fête, nous échangeons un baiser devant la porte. Du mal à se séparer. Tout est dans le non-dit. Les gestes. Puis, il chuchote : « Je ne veux pas te quitter. » « Tu ne me quittes pas. Je suis avec toi. »
Il me prend dans ses bras. Dans ses bras. Me serre fort. Encore.

Et je retourne vers les autres, je suis heureuse, heureuse.

La gâteau arrive, dans les mains de la copine de Pierre ; lui tout sourire, et il me regarde : une fois de plus, il a compris... Il me murmure : « J’ai vu. Natacha aussi. C’est marrant, à chaque fois, c’est nous deux, et personne d’autre, qui voit. T’es belle ma Viva... Je suis tellement content pour vous deux... » Je lui souris, avec une tendresse infinie pour ce grand gars tellement formidable et sensible, mon Pierre. « Allez, souffle tes bougies, t’as vingt ans, toute la vie. »

Il inspire un grand coup, et souffle. D’un coup.
Champagne... Les bulles coulent à flot, et mon cœur est ailleurs, il l’accompagne, celui qui occupe tout mon être, maintenant, mon esprit, tout moi...

Mon Hugo.

 

Ecrit par Viva, le Samedi 12 Février 2005, 23:36 dans la rubrique Actualités.

Commentaires :

Broutille
Broutille
12-02-05 à 23:49

Wah..

T'as réussie à me faire pleurer..

Je sais absolument pas pourquoi cette petite larme s'est mise à rouler comme ça.. Peut-être parce que mon coeur a été aussi broyé par un David et que je ne crois plus vraiment en rien... Peut-être parce que ce soir je ne me suis jamais sentie aussi seule...^Peut-être tout simplement parce que tu écris divinement bien..

Hugo. Le voilà pour toi. Profite ma Belle... Profite :)

Je pense à toi

Bizoux

Broutille


 
Cabotine
Cabotine
13-02-05 à 00:17

Re: Wah..

Oh... Moi aussi je pleure, je saurais pas te dire exactement si c'est de la joie pour toi, ou tes jolis mots qui transmettent bien tes émotions, ou si comme Broutille je me sens seule ce soir...
C'est pas la première fois que tes mots me transportent, c'est vraiment beau ce que vous vivez lui et toi...

 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:11

Re: Re: Wah..

Ne pleurez pas toutes, sinon je vais me sentir obligée d'arrêter d'écrire, si je tire les larmes et rends triste!... ;) Non, je te rassure, je plaisante... J'aime trop écrire.
On se sent tous un peu seuls un jour ou l'autre... Dis toi que bientôt, "ça" viendra, ce petit piment auquel tout le monde aspire!
Merci de ton passage... :)


 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:09

Re: Wah..


J'ai beaucoup aimé ton expression "mon coeur broyé par un David"... C'est ça, le mot que je cherchais. Oui, il avait broyé mon coeur, complètement, à l'époque. Je me sens aujourd'hui d'autant plus forte que j'ai réussi à tirer un trait sur le passé... Mais ce fut difficile. Alors, si parfois les fantômes du passé ressurgissent, courage, prend de la force dans les autres amis que tu as, qui t'entourent et t'aiment, ces bases solides.
Merci pour ce "divinement"... Ca me touche, vraiment.
:) Bizz à toi, Broutille!

 
Cocktail
Cocktail
13-02-05 à 09:40

C'est hallucinant, vraiment.
Quand je te lis.. c'est... magique...
Tout. Les mots, les sensations qui les accompagnent... Ses frissons, cette chaleur au fond du ventre... Alors, je n'imagine même pas ce que ces moments doivent être, s'ils sont déjà aussi fort juste avec les mots...

Mais te lire, c'est aussi un morceau d'espoir. Parce que je me dis qu'il faut y croire, encore et toujours. Les belles histoires comme celle-ci ne sont sûrement pas uniques. Et puis, sa m'aide "à attendre mon tour", si l'on peut dire ça comme ça...

^^


 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:14

Re:

Ton commentaire me touche énormément, il m'émeut vraiment. Il est tellement joli!...
Merci... je... vraiment. Je ne sais pas quoi dire, j'aurais envie de répondre à tout, mais j'ai peur de te paraphraser! Bref, je n'arrive pas à m'exprimer, une fois n'est pas coutume!

Oui, je suis certaine que les histoires comme celles-ci peuvent survenir n'importe où, n'importe quand, il suffit d'y croire, sans non plus idéaliser ou attendre le prince Charmant. Juste savoir prendre le bonheur là, quand il se présente.
Je suis d'autant plus ravie, si, comme tu le dis, ça "t'aide à attendre"!
Bizz Cocktail!

 
titi-life
titi-life
13-02-05 à 13:33

Impressionante, ta façon de décrire, une description si émouvante, je frissone.
Hihi, en plus je l'avais prédit^^.
Ton Hugo, le tien, quand allez vous vous revoir ?
J'espère que vous deux ce sera du bonheur, tout simplement.
Gros bisoux.

 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:15

Re:

Eh oui, tu l'avais prédit, à juste titre!
Merci pour le compliment... Hugo et moi nous sommes revus toute la semaine en cours, à mon grand bonheur... Merci d'être passée, titi-life, je suis allée faire un tour sur ton blog, et je dois dire que j'aime bien!
Bizz à toi! :)

 
neowitch
neowitch
13-02-05 à 14:03

PPPFFFFFFFFFFFF!!!!!!!!!   Que dire, QUE DIRE!!! C'est merveilleux!
Beau, et merveilleux, votre histoire...Unique ( chaque histoire est unique)
Alors pleins de bonheur continuel a vous!!!
Amusant, cette boutique...ne srait-ce pas LA boutique de l'île st louis???
J'en connais une sur les quais, merveilleuse!!!
Aller pleins de smoutch!!!

 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:16

Re:

Cette boutique n'est pas celle de St Louis (tiens, d'ailleurs, je ne la connais pas... Il faudra que je la cherche!)(ou que tu me donnes l'adresse?) ;). Elle est située à Barbès, en pleine Goutte d'Or, dans le 18e... Un petit périple pour y aller!
Ton enthousiasme me fait toujours autant sourire, Néo! Merci beaucoup!
Bizz à toi! ;)

 
touchofpink
touchofpink
13-02-05 à 16:50

encore une fois émue part tes écrits merci :) je repars d'ici une fois de plus avec des étoiles pleins la tête. Je te souhaite encore plein plein de bonheur

 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:17

Re:

Alors, garde bien les étoiles, parce qu'il n'y a rien de mieux qu'avoir de petites pétillances quelque part... Pour garder le sourire!
Au plaisir de te revoir ici! :)

 
Feu
Feu
13-02-05 à 20:53

Magnifique... Je ne peux pas dire d'autre mot. Cette écriture si belle... Mes mots sembleraient trop petits pour l'exprimer.
Juste, merci de nous faire partager à tra façon tout cela ; oui, cela prouve bien que le bonheur est là, pour chacun d'entre, nous, sans doute, quelque soient les épreuves traversées.
Alors, je ne peux que tu souhaiter plein de bonheur, avec celui que tu portes dans ton coeur...
:)

 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:19

Re:

Merci, vraiment, Feu. Les mots trop petits... Wah... Tous ces mots qui viennent de blogueurs qui eux-mêmes écrivent très bien, ça me touche, vraiment! :))
Oui, j'ai bien envie de le garder, ce bonheur... Et j'en profite pour dire à tous : vous aussi, trouvez-le, et surtout, gardez-le, bien précieusement!
Merci Feu!

 
Dana
Dana
14-02-05 à 18:33

T'as réussi à mettre des mots sur des sensations que je ne suis jamais parvenue à exprimer par la parole...
La métaphore de l'arc que l'on tire... la fournaise... l'explosion...
c'est tout ce que je n'ai jamais réussi à décrire...

Encore une fois j'étais là, dans un coin de ta tête, à vivre l'anniversaire, à vivre tes emotions, à partir avec tes pensées au moment où Hugo s'en va...
C'est incroyable... j'ai des frissons, et les larmes qui ne se sont pas contentées de me monter aux yeux et ont cette fois franchi la cascade de mes cils...
J'aime, j'adore. :)
Profite.
Bisous.

 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:21

Re:

J'avoue que j'aime énormément la langue française, si belle et riche, et toutes ces formules me viennent ainsi... parce que le langage est riche, si riche! A vrai dire, tout est visuel, émotionnel : je ne traduis qu'en mots ce que je vois et sens...

Oh, encore des larmes... Il ne faut pas pleurer, tite Dana...
Merci du fond du coeur, très sincèrement, pour ce si bel enthousiasme qui me touche énormément... Que dire?... Sinon un grand sourire! :))!
Bizz à toi!

 
Lunatic
Lunatic
19-02-05 à 13:45

:-)
que dire ou exprimer de plus?

:-)


 
Viva
Viva
20-02-05 à 17:22

Re:

C'est justement la question que je me posais... :)
Merci de ton passage, Lunatic! (au fait, puis-je t'ajouter à mes liens?)